Tout ce que vous voulez savoir sur le quartier de La Défense …. visitez le site ci après :
Six secrets de La Défense que vous ne connaissez peut-être pas
Comment La Défense est sortie de terre.
Voici six secrets que vous ignorez peut être.
Pourquoi La Défense s’appelle La Défense
Après le siège de Paris et la guerre franco-prussienne de 1870, un concours est organisé en 1979 pour édifier une statue en hommage à la défense héroïque de Paris sur le rond-point de Courbevoie. Une centaine d’artistes célèbres concourent, comme Gustave Doré ou Auguste Rodin. C’est finalement l’œuvre de Jean-Ernest Barrias qui est retenue. Elle représente un soldat, qui tourne le dos à Paris et donne le sentiment qu’il défend la ville. De son nom, « La Défense de Paris », sortira celui du quartier d’affaires. L’œuvre passe alors à la postérité.
Le Cnit, de centre de congrès au centre commercial
Construit entre 1956 et 1958, le Centre des nouvelles industries et technologies (Cnit), avait pour fonction première d’être un centre de congrès. Pendant une vingtaine d’années, il a accueilli de grandes expositions comme les Floralies internationales, les Arts ménagers, le salon nautique de Paris… Avec la construction de la dalle piétonnière en 1978, la surélévation du sol enterre un bon tiers du Cnit. L’espace d’exposition n’est alors plus assez moderne et plus assez grand. Le centre de congrès perd une grande partie de son activité. Pour lui redonner vie, les restructurations successives en feront un véritable centre commercial.
Une fusée à la Tintin à la place de la Grande Arche
Bien avant la Grande Arche, des propositions se sont fait jour pour « casser l’axe » du quartier. La première d’entre elles est la Tour Polak, en 1963, des architectes André et Jean Polak. Un super émetteur TV devait être installé en haut de la tour de 750 m avec une portée de 250 km autour de Paris. Un projet fou, ambitieux, qui ne trouvera jamais d’investisseur. A l’arrivée des satellites de communication, le Tour Polak devient obsolète et le projet est enterré en 1969.
Feu la Tour Lumière Cybernétique
Encore plus fou que la Tour Polak, la Tour Lumière Cybernétique. Des hygromètres, thermomètres, anémomètres, cellules photoélectriques et micros devaient être placés le long de sa structure. 3 226 projecteurs de couleurs devaient être installés, 2 000 flashs lumineux, 330 miroirs pour une hauteur de près de 350 m. Ce projet d’art ambitieux du sculpteur Nicolas Schöffer devait voir le jour en 1970. Le projet est abandonné à la mort du Président Georges Pompidou, le seul qui soutenait la construction.
Des télésièges et un tapis roulant géant
Un mix entre les aéroports et les stations de ski. Avant le métro, le RER, les bus, il n’y avait rien. Pour rendre le quartier accessible, permettre aux parisiens de s’y rendre, des tapis roulants (sur la passerelle de gauche ci-dessous) et des télésièges ont d’abord été imaginés. Sans qu’aucune suite ne soit donnée à cette idée… farfelue.
Une fresque au milieu de la Grande Arche
Invisible depuis l’extérieur. La Fresque Monumentale est l’œuvre la plus complexe et la plus grande en taille de La Défense. Signée par Jean Dewasne, elle habille de bleu et de rouge toute la paroi sud de la Grande Arche et orne les espaces intérieurs des 34 étages. L’œuvre abstraite est également visible dans le hall d’entrée de la paroi nord.